Kamaliddine Mohamed

Chargé de projets à l’Éco de la Pointe-aux-Prairies
Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles
Travailler pour la qualité de vie et la préservation de l’environnement, c’est investir pour un futur désirable.

Pouvez-vous écrire une ou deux lignes d’introduction sur vous et les fonctions que vous occupez aujourd'hui.

Je suis chargé de projets à l’Éco de la Pointe-aux-Prairies,  l’Écoquartier de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Je suis en charge de mener à bien certains des nombreux projets que l’organisme met en place et ce dans plusieurs domaines en environnement : gestion des matières résiduelles, qualité de l’eau, propreté, verdissement, etc.

Quel est votre rôle dans le cadre du projet ILEAU?

Dans le cadre du projet ILEAU, je suis celui qui suis le bon déroulement des différentes actions de verdissement issues de ce projet pour l’arrondissement RDP-PAT. Je participe aux différentes rencontres de planification et d’élaboration des projets de verdissement. Puis, pour certains d’entre eux, j’aide les établissements, ayant bénéficié du programme ILEAU, à l’entretien de l’aménagement.

Quelles ont été vos motivations à vous engager dans cette opération?

Ma première motivation vient de la volonté du programme à verdir les milieux qui manquent de verdure et propice aux îlots de chaleur urbains. Ensuite, la capacité du programme à rassembler différents acteurs et citoyens autour d’un même but qui est l’amélioration de la qualité de vie de l’est.

Quelles sont les missions d’un bûcheron de l’asphalte à vos yeux?

La première mission d’un bûcheron de l’asphalte est de saisir toutes les opportunités qui lui sont offertes pour diminuer la surface asphaltée du territoire. Puis d’informer des risques pour l’environnement de l’asphaltage à outrance. Enfin de garder le sourire à chaque nouvelle mission!

Quel serait votre message pour inviter les acteurs qui vous entourent à devenir des bûcherons de l’asphalte?

Devenir bûcheron de l’asphalte, c’est s’assurer un avenir prospère car il y a tellement d’asphalte que dans ce domaine, le chômage n’existe pas. Et puis travailler pour la qualité de vie et la préservation de l’environnement, c’est investir pour un futur désirable.

Quel est votre rêve pour le Montréal de demain?

Je rêve d’un Montréal pour lequel les projets d’aménagement du territoire seront pensés avant tout dans une optique de développement durable avec l’environnement comme premier critère de sélection des projets. Il faut que ce thème soit au cœur de toute idée de développement de notre ville.